Au fil des saisons...elles peuvent être "tendances", éblouissantes, ternes, sans représentation, ni faste ni paillette et pourtant, suivant une galerie de portraits, évènements, paysages, lieux circonstanciés et tout en fonction de la position, humeur, attitude, gestuelle, grâce, volupté, douleur, tendresse, elles se doivent être, elles sont art et technique.
Se laisser figer un espace temps, focaliser par des millions de pellicules ou immerger par des particules, ces clichés fixent une image et par exposition peuvent vous projeter dans la lumière.
C’est une épreuve à toute épreuve de les figer en mode "instantané" mais de temps en temps, en fonction de chaque ressentiment flashé, de bien belles illustrations se laissent dompter pour le plaisir des yeux. Par une sage décision, ou folle tout est selon le degré de prise de vue, la photographie se met alors en mode pause, juste par mouvement et grâce du geste.
Qu’elles soient négatives au cœur de métal, ces bien belles cartes postales se forment de tirages qui peuvent à l’œil, être d’un banal pour certains mais vision pour tout autre. Laissez-les alors sublimer ou pas, et s’épanouir sur une pensée admirative.
Simple anonyme, j’en aime les courbes, les scènes immortalisées prises à vive allure, les sourires et autres grimaces, les douleurs, les marques d’un visage, les allures corps à corps, les ambiances qu’elles dégagent.
Se laisser figer un espace temps, focaliser par des millions de pellicules ou immerger par des particules, ces clichés fixent une image et par exposition peuvent vous projeter dans la lumière.
C’est une épreuve à toute épreuve de les figer en mode "instantané" mais de temps en temps, en fonction de chaque ressentiment flashé, de bien belles illustrations se laissent dompter pour le plaisir des yeux. Par une sage décision, ou folle tout est selon le degré de prise de vue, la photographie se met alors en mode pause, juste par mouvement et grâce du geste.
Qu’elles soient négatives au cœur de métal, ces bien belles cartes postales se forment de tirages qui peuvent à l’œil, être d’un banal pour certains mais vision pour tout autre. Laissez-les alors sublimer ou pas, et s’épanouir sur une pensée admirative.
Simple anonyme, j’en aime les courbes, les scènes immortalisées prises à vive allure, les sourires et autres grimaces, les douleurs, les marques d’un visage, les allures corps à corps, les ambiances qu’elles dégagent.
Que dire d’un cliché qui pris à l’improviste, sans programmation, est un bien beau tableau que lors qu’il représente une scène dite immortelle, souvenir, nostalgie, moment donné, passé sous silence.
Ces galeries, cette initiative juste le temps du ressouvenir, ces albums parsemés de clichés déci- delà, me donnent envie de venir taper la balle juste le temps d’un QT à l’unisson, au fil des saisons…
Ces galeries, cette initiative juste le temps du ressouvenir, ces albums parsemés de clichés déci- delà, me donnent envie de venir taper la balle juste le temps d’un QT à l’unisson, au fil des saisons…