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Alors que ce week-end s'annonçait comme un potentiel week-end de fête avec le "Final 4" des cadettes, voilà que la nouvelle est tombée. A ceux qui se demandaient qui d'Alexia PLAGNARD, de Linda BOUSBAA ou des deux serait le renfort au poste 1 de la future "grande meneuse" que l'on nous annonce pour la saison prochaine on peut maintenant répondre: ce ne sera finalement ni l'une, ni l'autre. Les deux jeunes filles quittent le BLMA faute de projet à la hauteur de leur potentiel, ou peut-être même faute de projet tout court. Car c'est bien de cela qu'il s'agit: de projet. Pas seulement de durée de contrat ni même d'argent.
Si la saison de la première a été un peu en retrait par rapport aux qualités affichées l'année dernière et au potentiel qu'on lui connaît, c'est avec circonstances atténuantes. Et il n'en demeure pas moins que tout le monde s'accorde à penser que nous tenions là une joueuse d'avenir: la rédaction de BasketNews qui vient de l'honorer ou le sélectionneur de l'Equipe de France de sa catégorie d'âge ne sont pas que des ânes.
Quant à la seconde, c'est bien pire encore. Alors que tous ceux qui s'intéressent de près au basket de jeunes l'ont repérée depuis son plus jeune âge à Nice, il a fallu attendre au BLMA qu'Alexia PLAGNARD se blesse pour que l'on condescende à lui donner un peu de temps de jeu et de responsabilités. Avec succès d'ailleurs, mais contraint et forcé, en quelque sorte. En ce qui la concerne, là encore le sélectionneur de l'Equipe de France n'est-il sans doute pas qu'un imbécile.
Car oui: c'est bien des deux meneuses des Équipes de France de leur catégorie dont nous parlons... Et avoir ce type de joueuse dans son club et les perdre sans même que plus fort ne vienne vous le prendre, c'est un exploit énormissime, sans précédent.
Si la saison de la première a été un peu en retrait par rapport aux qualités affichées l'année dernière et au potentiel qu'on lui connaît, c'est avec circonstances atténuantes. Et il n'en demeure pas moins que tout le monde s'accorde à penser que nous tenions là une joueuse d'avenir: la rédaction de BasketNews qui vient de l'honorer ou le sélectionneur de l'Equipe de France de sa catégorie d'âge ne sont pas que des ânes.
Quant à la seconde, c'est bien pire encore. Alors que tous ceux qui s'intéressent de près au basket de jeunes l'ont repérée depuis son plus jeune âge à Nice, il a fallu attendre au BLMA qu'Alexia PLAGNARD se blesse pour que l'on condescende à lui donner un peu de temps de jeu et de responsabilités. Avec succès d'ailleurs, mais contraint et forcé, en quelque sorte. En ce qui la concerne, là encore le sélectionneur de l'Equipe de France n'est-il sans doute pas qu'un imbécile.
Car oui: c'est bien des deux meneuses des Équipes de France de leur catégorie dont nous parlons... Et avoir ce type de joueuse dans son club et les perdre sans même que plus fort ne vienne vous le prendre, c'est un exploit énormissime, sans précédent.
"Pardonne-leur. Ils ne savent pas ce qu'ils font", Lc 23,34
Convoquer les Évangiles, j'avoue que ça fait beaucoup. Mais je pense qu'effectivement nous sommes passé du pilotage à vue au pilotage à l'aveugle. Plus aucun sens ne semble fonctionner à la Direction du BLMA, même pas le sens économique puisque ce sont sans doute les deux joueuses...les moins chères de l'effectif qui partent! Mais rassurez-vous: on ira sans doute chercher maintenant non plus une, mais deux meneuses pour remplacer Sylvie et sa doublure! Ailleurs ce que l'on avait chez nous. Mais à quel prix et pour quelle réussite?
Que l'on ne me parle pas comme certains ont déjà essayé de "la vie des clubs", argument acceptable quand on parle des départs de BONNAN, Khadijah, Dana ou encore même BERTAL. Non, on parle là de politique à moyen terme, d'investissement et de construction.
A qui la faute alors? Peu importe, quelque part... C'est un échec de Club, le désaveu d'une absence de politique, d'une absence de projet. Une faillite collective. Ce n'est pas une erreur, c'est une faute grave. Quels bobards vont-ils encore inventer pour nous justifier cela?
La moralité de cette histoire, s'il y en a une, c'est que l'on peut avoir été un grand meneur de jeu et être un banal entraîneur (au sens de tirer le meilleur des compétences de son groupe, pas au niveau tactique), tout comme on peut être un excellent trésorier-gestionnaire-redresseur de déficit sans être un Président.
Il serait temps de pourvoir à ces deux fonctions avant qu'il ne soit trop tard...
Que l'on ne me parle pas comme certains ont déjà essayé de "la vie des clubs", argument acceptable quand on parle des départs de BONNAN, Khadijah, Dana ou encore même BERTAL. Non, on parle là de politique à moyen terme, d'investissement et de construction.
A qui la faute alors? Peu importe, quelque part... C'est un échec de Club, le désaveu d'une absence de politique, d'une absence de projet. Une faillite collective. Ce n'est pas une erreur, c'est une faute grave. Quels bobards vont-ils encore inventer pour nous justifier cela?
La moralité de cette histoire, s'il y en a une, c'est que l'on peut avoir été un grand meneur de jeu et être un banal entraîneur (au sens de tirer le meilleur des compétences de son groupe, pas au niveau tactique), tout comme on peut être un excellent trésorier-gestionnaire-redresseur de déficit sans être un Président.
Il serait temps de pourvoir à ces deux fonctions avant qu'il ne soit trop tard...
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